Journée Institutionnelle 2016 : prévention et lutte contre l’illettrisme

Tous les deux ans, l’UDAF du Rhône et de la Métropole de Lyon organise une journée institutionnelle qui rassemble les 110 salariés et les 40 administrateurs de notre structure. Cette année, c’est autour de la prévention et la lutte contre l’illettrisme que s’est déroulé cet évènement.

Ainsi, le 22 novembre 2016, les professionnels de l’UDAF mais également les bénévoles des associations familiales, membres et associées, se sont réunis afin de partager une culture commune sur cette thématique qui nous concerne tous de près ou de loin.

En partenariat avec l’ANLCI (Agence Nationale de Lutte contre l’Illettrisme) et les CRI de Rhône-Alpes (Centre Ressources Illettrisme), la journée a débuté par un état des lieux de l’Illettrisme en France, présenté par Anne MESSEGUE, chargée de mission régionale.

Trois thématiques ont ensuite été évoquées autour d’une table ronde :
Prévention et éducation – Fracture numérique – Emploi et Insertion –
lors de laquelle nous avons eu l’occasion d’être entourés de différents intervenants de la CAF, de la CPAM, de l’Education Nationale, d’Emmaüs Connect et de l’association Handica-Réussir.

Des ateliers animés par les Centres de Ressources Illettrismes ont ensuite été organisés tout au long de l’après-midi afin de mettre à mal toutes les fausses idées sur ce sujet et de participer à la lutte contre l’exclusion des personnes concernées.

Finalement, une présentation des différents outils ressources existants, et une conclusion des travaux par Morgane GAILLETON, Présidente de l’UDAF du Rhône et de la Métropole de Lyon, sont venues clore cette journée enrichissante.

Les Journées Institutionnelles ont pour but la sensibilisation sur un thème transversal, mais également la volonté de réunir et de développer un lien entre le personnel de l’UDAF des différents services, et les administrateurs.

« Intéressante. Conviviale et pertinente ! » sont les mots qui caractérisent cette journée. Les participants enthousiasmés n’ont cependant qu’un seul regret : n’y avoir droit qu’une fois tous les deux ans !